Garni - L'unique temple grec d'Arménie

L'histoire de l'Arménie

Carte

Peuples d’Arménie en 600 avant J.-C., © C. Berthon

L’histoire du site de Garni ne peut être comprise qu’au prisme de l’histoire de l’Arménie tout entière car le site est un témoignage de l’occupation grecque du pays au IVe siècle avant J.-C. 

Du fait de son emplacement et de ses frontières, l’Arménie a vécu une longue histoire mouvementée. En effet, elle est située sur une zone de hauts plateaux, au croisement de plusieurs territoires : le Caucase au Nord, l’Anatolie à l’Ouest, la Mésopotamie au Sud et la Perse à l’Est. 

L’histoire du pays commence vers 600 avant J.-C. À cette époque, l’Arménie est habitée par les Ourartéens qui ont fondé un puissant royaume, se distinguant dans le travail du bronze, la construction de puissantes citadelles, mais aussi l’élevage de chevaux et la métallurgie. Plus au Sud, se trouvent des populations sémitiques, notamment les Araméens, dominés par l’Empire assyrien. Au Nord, vivent des peuples caucasiens, plus isolés. Les Ourartéens et les Caucasiens forment un îlot de de résistance face à l’expansion des Indo-européens qui arrivent, à l’Est, de Perse et, à l’Ouest, d’Anatolie. Les Perses et les Mèdes, venus de l’Est, envahissent les royaumes assyrien et ourartéen en 590 avant J.-C., ce qui entraîne une dépopulation massive de l’Arménie. 

Les Mèdes remplacent les anciens occupants dès la deuxième moitié du VIe siècle avant J.-C., probablement sous le règne de Darius Ier (521-486). Conservant son unité territoriale, l’Arménie devient alors une province perse divisée en deux satrapies, selon Hérodote, et, renommée pour ses chevaux, elle paie son tribut à l’Empire perse sous forme de poulains. Cette domination perse, qui dure deux siècles, a pour conséquence l’introduction d’éléments de la civilisation perse en Arménie. Au Nord du territoire assyrien, le vide laissé par les ravages des Mèdes profite à un autre peuple indo-européen venu d’Anatolie : les Arméniens qui intègrent la culture des Ourartéens tout en imposant leur langue. 

À la fin du IVe siècle avant J.-C., la conquête d’Alexandre le Grand permet à l’Arménie de retrouver son intégrité territoriale ainsi qu’une existence politique indépendante : adoptant le mode de vie et la culture hellénistiques, l’Arménie devient un royaume sous Oronte III (317-260), héritier de la lignée des satrapes d’Arménie et fondateur de la dynastie orontide, mais restant un souverain sous domination séleucide. 

Au début du IIe siècle avant J.-C., l’autorité des Orontides sur le territoire arménien est remise en question lorsqu’un général séleucide rebelle, Artaxias, s’empare du royaume car les Mèdes, qu’il a aidés contre le roi séleucide Antiochos III, lui ont offert des terres à titre de reconnaissance. Sous les Artaxiades, l’Arménie met en place une politique de conquêtes.

L’Arménie est réintégrée dans l’Empire perse au IIe siècle avant J.-C., lorsque les Parthes prennent le contrôle de la Perse et lui imposent un tribut. Mais cette époque, paradoxalement, coïncide aussi avec une forme d’apogée arménienne, car le règne du roi Tigrane II (95-55 avant J.-C.) marque l’expansion maximale du territoire arménien et de l’influence du royaume. En effet, l’alliance conclue entre l’Arménie et le royaume du Pont (actuelle Turquie) est un pacte scellé entre les deux puissances grâce au mariage entre le roi Tigrane et Cléopâtre, la fille de Mithridate VI, roi du Pont. L’Arménie est alors au cœur d’un affrontement entre l’Empire parthe et l’Empire romain, qui est aussi en guerre contre le royaume du Pont. L’alliance entre Tigrane et Mithridate VI permet d’abord au roi arménien d’étendre son territoire et d’assurer sa défense contre Rome ; il est alors à la tête d’un royaume qui s’étend de la mer Caspienne à la mer Méditerranée. Le polythéisme est alors abandonné au profit du zoroastrisme, religion monothéiste d’origine perse. Mais, dans un second temps, la reprise du conflit entre Rome et le royaume du Pont, en 74 avant J.-C., entraîne l’invasion de l’Arménie par le général romain Lucullus. Tigrane, en acceptant de s’allier avec l’Empire romain, parvient à conserver son pouvoir jusqu’à sa mort en 55 avant J.-C., mais ses successeurs sont écartés ou contrôlés de très près par Rome, jusqu’à ce qu’en 1 après J.-C., le royaume d’Arménie disparaisse et devienne un territoire romain. 

Les conflits entre Parthes et Romains ne sont cependant pas résolus : un traité signé en 63 après J.-C. stipule que l’Arménie doit être dirigée par un souverain issu de la dynastie parthe arsacide, mais qu’elle doit demeurer alliée de Rome. Selon Tacite et Dion Cassius (chroniqueur du IIe et IIe siècle après J.-C.), c’est Néron qui couronne, à Rome, en 66, le premier roi arsacide d’Arménie, Tiridate Ier. L’empereur romain honore d’ailleurs grassement le roi d’Arménie en compensation de la destruction de la capitale arménienne Artachat et des dévastations causées en 59-60 par les troupes romaines et par le proconsul romain Corbulo, qui s’illustre dans les guerres pour le contrôle de l’Arménie et auquel Néron, jaloux de ses succès, donne l’ordre de se suicider. C’est probablement de cette époque que date la construction du temple grec de Garni.

Malgré la présence tutélaire de Rome, la dynastie arsacide se maintient pendant plus de trois siècles, jusqu’en 428 après J.-C.

L’identité du royaume arménien est renforcée par l’adoption du christianisme comme religion d’État vers 300 après. J.-C. : l’Arménie devient le premier État au monde à devenir officiellement chrétien. À peine un siècle plus tard, un moine crée un alphabet arménien original permettant de traduire les textes sacrés, éliminant ainsi le grec, le syriaque et le persan dans le domaine religieux et dans l’administration. L’unité linguistique du royaume est ainsi réalisée.

En 384 après J.-C., la conquête sassanide de l’Arménie plonge le pays dans le chaos : l’Arménie occidentale devient la province romaine d’Arménie mineure tandis que le reste du pays demeure un royaume dirigé par la dynastie arsacide et soumis à la Perse. Les Sassanides ayant instauré le zoroastrisme comme religion d’État, les chrétiens d’Arménie se trouvent menacés et obligés de se convertir, notamment après la chute définitive des Arsacides en 428 face aux Satrapes nommés par les Sassanides. La bataille d’Avarayr en 451 après J.-C. marque la défaite chrétienne et devient un symbole de résistance à l’oppression étrangère. En 506, le patriarche chrétien prend le titre de καθολικός (catholicos, général1) affirmant sa foi chrétienne comme l’a fait l’Empire byzantin, christianisé depuis le règne de Constantin Ier converti en 312. Après la conversion de l'Arménie au christianisme, le temple de Garni devient la résidence d'été royale de la sœur du roi Tiridate III d’Arménie et de la dynastie royale arsacide jusqu’à son extinction au Ve siècle après J.-C.

En 629 après J.-C., après la victoire d’Héraclius contre les Perses, l’Arménie passe alors sous domination byzantine, et est réunifiée pendant une courte période. 

En effet, en 653 après J.-C., l’Arménie passe sous domination arabe. Les Arméniens deviennent un des seuls peuples soumis à ne pas se convertir à l’Islam. 

Puis les Byzantins s’emparent à nouveau de l’Arménie au début du XIe siècle jusqu’à l’arrivée des Turcs qui, à la fin du XIe siècle, s’installent en Anatolie à l’Ouest et en Azerbaïdjan à l’Est. Les Arméniens s’exilent alors vers la Cilicie au Sud-Ouest pour fonder un nouvel État avec l’aide des Byzantins : ils créent la Petite Arménie. Les croisades du Moyen-Âge permettent de relâcher la pression turque sur le royaume de l’Arménie. 

Au XIVe siècle, la Cilicie tombe sous la domination arabe, ce qui marque le début du déclin de l’Arménie. 

(1) Aujourd’hui, le catholicos de l’église arménienne siège à Etchmiadzin, ville située à une vingtaine de kilomètres d’Erevan.

 

L’architecture de la cité antique

plan

Plan du site de Garni, © C. Berthon

Situé à environ 30 kilomètres au Sud-Est d’Erevan, la capitale de l’Arménie actuelle, sur une sorte de plateforme triangulaire surplombant la rivière Azat et la plaine de l’Ararat à 1400 mètres d’altitude, le site est à la fois à l’abri de la canicule estivale qui frappe la capitale, mais aussi protégé par des falaises stratégiques, notamment à l’Ouest, d’une hauteur de 100 mètres et des remparts d’une longueur de 180 mètres. Mentionnée par Tacite sous le nom de Gornea, l'ensemble de la forteresse comprenait :

  • Un puissant mur muni de quatorze tours ;
  • Le temple grec et les thermes romains ;
  • Le palais royal d'été ;
  • Une église de Saint Sion datant du VIIe siècle après J.-C. ;
  • Des éléments divers dont des khatchkars médiévaux (stèles de forme arquée ou rectangulaire, sculptées d'une ou plusieurs croix accompagnées souvent d'un décor ornemental, parfois de figures humaines et d'inscriptions2).

(2) La plus grande nécropole arménienne présentant environ 800 khatchkars se trouve à Noradouz (Arménie). 

Les remparts

Ponctués de 14 tours rectangulaires, les remparts datent de l’âge du bronze, soit de 2700 à 900 avant J.-C., mais ils sont remaniés plusieurs fois : 

  • Ils sont renforcés au IIIe siècle avant J.-C. ; 
  • Ils sont détruits pendant l’invasion perse au IIe siècle avant J.-C. ;
  • Ils sont consolidés à l’époque du royaume d’Urartu du VIIIe au VIe siècle avant J.-C. ;
  • Ils sont partiellement détruits puis remontés par les Romains ;
  • Ils sont restaurés par le roi bagratide Achot II de 912 à 928 ;
  • Ils sont enfin détruits par les Turcs en 1638, puis par un tremblement de terre en 1679 ; 
  • Leur restauration date de 1975.

Ce qui subsiste de cette muraille date du IVe siècle avant J.-C., c’est-à-dire de l’époque où Alexandre le Grand envahit la Perse et où la culture arménienne subit une influence hellénistique.

Ces murs cyclopéens de pierres sont constitués d’énormes blocs de basalte bleuté assemblés sans mortier et attachés par des crampons de fer scellés, selon la technique de construction ourartéenne. Ils protègent tout particulièrement le secteur vulnérable du promontoire (à l’Est et au Nord). Le mur originel mesurait 12 à 14 mètres de haut ; aujourd’hui, il n’en subsiste que 2 à 4 mètres. Il n'était possible de rentrer dans l'enceinte avec un char que par une seule large porte. 

Le complexe royal 

Résidence des rois arméniens, le complexe comprenait plusieurs monuments : des logements pour la garnison royale de la forteresse, un palais composé de plusieurs bâtiments, des thermes romains, le temple de Mithra, ainsi que d’autres édifices, aujourd’hui disparus.

Au Nord des remparts, était située la garnison royale, un bâtiment à deux niveaux, qui pouvait accueillir un grand nombre d'hommes appartenant aux troupes royales et au personnel de service. 

Au Sud, le palais d’été, aujourd’hui disparu et dont la salle principale était située au bord de la falaise, était composé de deux étages ; il mesurait 40 mètres de long sur 15 mètres de large. Il possédait une toiture en bois qui reposait sur des piliers en bois, posés sur une base de pierre. Les vestiges de stuc rose et de peinture rouge retrouvées rappellent la riche décoration des appartements résidentiels et officiels. Dans les textes arméniens, ce palais est décrit comme une « maison de fraîcheur » possédant un système naturel d'aération capable de recevoir le vent frais venant de la gorge de Garni. En outre, lorsqu’il faisait très chaud, on faisait venir des blocs de glace depuis les sommets des montagnes voisines. 

Les thermes romains datent du IIe siècle après J.-C. Comme tous les thermes romains, ils comprennent quatre pièces : le vestibulum (vestibule), le frigidarium (bain froid), le tepidarium (bain tiède), le caldarium (bain chaud). Le système de chauffage se fait, de manière traditionnelle, par hypocaustum (hypocauste), à savoir par circulation d’air chaud sous le sol. Les mosaïques décoratives du vestibule représentent des êtres mythiques et des naïades chevauchant des poissons et des dauphins, motif typique du Bas-Empire (de 193 à 476 après J.-C) ; au centre, se situaient les figures allégoriques de l’Océan et de la Mer agrémentées de légendes en grec : elles ont aujourd’hui disparu.

Le temple de Mithra 

Situé au Nord du complexe royal, c’est un temple périptère (c’est-à-dire entouré de colonnes sur toutes ses faces) gréco-romain, de petites dimensions, construit en basalte lisse, une pierre volcanique. On y accède par un escalier de 9 marches, autrefois encadré de 2 atlantes posant un genou à terre.

Le temple est formé d'une salle rectangulaire, le ναός (naos), dans lequel est placé un autel. Disposant d'un portique extérieur, il est entouré de 24 colonnes ioniques sur l'ensemble des façades, 6 en façade avant et arrière ainsi que 8 sur les côtés, si l'on compte celles des angles deux fois. La décoration n’est pas seulement gréco-romaine, en feuilles d’acanthe, mais elle s’intègre à l’art arménien : grenades, raisins, feuilles de noisetier, fleurs, têtes d'animaux. Ce temple était destiné au roi et à sa famille uniquement.

Il est souvent présenté comme dédié au dieu du Soleil Mithra, mais cela reste incertain. L’assimilation de Mithra à Hélios (le dieu Soleil) est fréquente. Une statue de Mithra a d’ailleurs été retrouvée dans le temple de Garni. Selon certains historiens, il ne s'agit pas d'un temple mais d'un tombeau, ce qui expliquerait pourquoi il a survécu à la destruction générale des anciens édifices païens.

La première structure du temple a été bâtie par le roi Tiridate Ier en 76-77 après J.-C. Après la conversion de l'Arménie au christianisme au début du IVe siècle, il devient la résidence d'été royale de la sœur de Tiridate III. Détruit par le séisme de 1679, il a été reconstruit entre 1970 et 1976.

Une inscription en grec découverte en 1945, nommée « Pierre Hélios » ou « Pierre de fondation », mentionne que les structures du temple et de la résidence du Roi ont été fondées au Ier siècle avant J.-C. Cette inscription a été gravée sur un bloc de basalte de 165 centimètres de long, de 50 centimètres de haut et de 80 centimètres d'épaisseur, les lettres ayant une taille d'environ 5 par 5,5 centimètres.

Voici l’inscription : 

Ἣλιος Τιριδάτης [ὁ μέγας] / μεγάλης Ἀρμενίας ἄνα[κτος] / ὡς δεσπότης. Αἴκτισε ναΐ[διον] / βασιλίσ[σ]α τὸν ἀνίκητον κασ[ιν ἐνι] / αιτούς. Αι. Τῆς βασιλεί[ας αὐτου] / με[γαλείας]. Ὑπὸ ἐξουσίᾳ στεγάν[ου] / λίτουργος τῷ / μεγάλῳ σπ[ῆι εὔχεσθε] / μετὰ ματήμι καὶ εὐχαρ[ιστίαν εὐχήν] /τοῦ μαρτυρίου. 

Voici ce que cela signifie :  

« Hélios ! Tiridate le Grand, roi d’Arménie, lorsque le Seigneur construit cet agarak (palais) pour la reine, et cette forteresse imprenable à la onzième année de son règne, et Meneuse, digne de louange du Grand Sparapét (le général), à la suite de l’autorisation du Maître, en signe de gratitude [l’acheta] devant le témoin Matheus » 

C’est Moise de Khorène, historien arménien du Ve siècle après J.-C, qui mentionne cette inscription, et l'attribue au roi Tiridate IV (286-330) qui a reconstruit la forteresse. 

Garni aujourd’hui ?

Ce qui subsiste l’ensemble de la forteresse date du IVe siècle avant J.-C, époque où Alexandre le Grand envahit la Perse et où la culture arménienne commence à subir l’influence hellénistique. Mais la forteresse ayant été ensuite dévastée par les Romains, les monuments les plus importants conservés sur le site, en particulier le temple et les thermes romains, datent du Ier siècle après J.-C.  Entièrement détruit par un tremblement de terre au XVIIe siècle, le temple est reconstruit dans les années 1970.

Aujourd’hui, le temple est devenu le centre du néopaganisme arménien. Chaque année s'y déroule la Vartavar, la fête arménienne de l'eau.

Le 28 avril 2011, le temple a reçu le prix Mélina Mercouri de l'UNESCO-Grèce afin de récompenser les mesures prises pour préserver les vestiges historiques et culturels ainsi que les efforts faits pour ouvrir le site aux visiteurs nationaux et internationaux.

Ce qu’en dit Hérodote :

 

Ποιήσας δὲ ταῦτα ἐν Πέρσῃσι ἀρχὰς κατεστήσατο εἴκοσι, τὰς αὐτοὶ καλέουσι σατραπηίας· καταστήσας δὲ τὰς ἀρχὰς καὶ ἄρχοντας ἐπιστήσας ἐτάξατο φόρους οἱ προσιέναι κατὰ ἔθνεά τε καὶ πρὸς τοῖσι ἔθνεσι τοὺς πλησιοχώρους προστάσσων, καὶ ὑπερβαίνων τοὺς προσεχέας τὰ ἑκαστέρω ἄλλοισι ἄλλα ἔθνεα νέμων. […] Ἀπὸ Πακτυϊκῆς δὲ καὶ Ἀρμενίων καὶ τῶν προσεχέων μέχρι τοῦ πόντου τοῦ Εὐξείνου τετρακόσια τάλαντα· νομὸς τρίτος καὶ δέκατος οὗτος.

 

Cela fait, il* partagea ses États en vingt gouvernements, que les Perses appellent satrapies, et dans chacune il établit un gouverneur. Il régla le tribut que chaque nation devait lui payer, et, à cet effet, il joignait à une nation les peuples limitrophes ; et quelquefois, passant par-dessus ceux qui étaient voisins, il mettait dans un même département des peuples éloignés l'un de l'autre. […] Le treizième département payait quatre cents talents. Il s'étendait depuis le Pactyice, l'Arménie et les pays voisins, jusqu'au Pont-Euxin.

*Darius, roi des Perses

Hérodote, Histoire, III, 89 et 93, traduit par Larcher, 1850

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